(jamie dornan) ☞ into the blue.

tyson nom de famille au choix

l'histoire de ma vie

bess callahan + amber heard + psychologue, compliqué À ma sortie de ce centre, Tyson était présent dans la salle. Une haine entre lui et moi s'était installée, comme si cette attraction me rendait malade. Je voyais son regard s'implanter dans le mien et cette envie de le tuer ou de l'assassiner me hantait. « Mademoiselle Callahan, quelle joie de vous revoir. » Gardant mon sac sur l'épaule (La seule chose qui me restait depuis mon entrée dans ce centre), je restais muette. Il m'offrait un sourire, ce même qu'il me faisait et qu'une rage incontrôlée surgissait en mon corps. « Je vois que vous êtes heureuse de me voir. » Sans le quitter du regard, il s'est approché de moi en glissant une main délicate dans le creux de mes reins pour me rapprocher à lui. Le laissant approcher sa bouche de mon oreille afin de me souffler quelques mots, je ravalais ma salive. « On se revoit demain alors. » Le laissant s'éclipser plus loin, je détournais la tête quelques instants afin de me rapprocher de Tyson qui parlait avec l'un de ses associés. « Malheureusement, ce n'est pas le cas. » Sans dire un mot de plus, je venais à marcher quand sa main pris possession de mon bras pour me plaquer au mur, loin de tous les regards. Quand il vint à plaquer ses lèvres aux miennes, je prolongeais fougueusement le baiser... Le lendemain, fut pénible. Bien sûr, le fait de retourner chez ma mère, de voir mon paternel s'enrichir encore plus et aussi le fait de revoir ma soeur me faisait de plus en plus du mal pour rien. Devant le cabinet de Tyson, un sac à la main, je regardais l'agent de sécurité qui ne cessait de me reluquer comme si je sortais de prison et que j'avais envie de faire de la prostitution. « Tu veux ma photo ?. » Le garde venait à me regarder à nouveau de haut en bas pour rire. Il me cherchait et mes poings vinrent à se fermer seuls. « J'me souviendrai de ton visage. » Tandis que je pénétrais à l'intérieur, Tyson était accoudé contre le bureau de la secrétaire. Son sourire montrait qu'il la draguait ouvertement alors je posais mes doigts contre ma bouche et laisser entendre un léger grondement pour lui signaler ma présence. « Mademoiselle Callahan, veuillez me suivre. » Sans dire le moindre mot, je montais les marches de l'immeuble et qu'un garde puisse nous suivre. Je m'étais jurée de ne pas recommencer comme hier quand j'étais en sa compagnie, il était hors de question que je puisse revivre ce que j'ai vécu avec Monse. M'asseyant sur le canapé de cuir, je m'y couchait en fixant le plafond, toujours perdue entre ce qui se passait avec ma mère. « Alors Bess. Dîtes moi comment vous vous sentez en ce moment. » Je poussais un rire. « Comment je me sent ? Tu veux vraiment le savoir. » Tyson jouait bien le jeu du psychologue qui n'avait rien à voir avec le reste. « Je vous prierai de m'appeler par mon nom de famille mademoiselle. » Poussant un nouveau rire, je me redressais sur mes deux jambes pour hausser les épaules. « Non je ne me sent pas bien Tyson et je t'appellerai comme ça jusqu'à ce que tu m'avoue c'est quoi ton problème. » Le jeune homme venait à laisser glisser son calepin contre la table avant de se redresser et replacer son costard noir. Bien sûr, il avait l'allure dont toutes les femmes pouvaient rêver. Quand il venait à se rapprocher de moi pour me plaquer au mur, je venais à lui donner un coup de pied dans son ventre ce qui fit en sorte qu'il se tordait de douleur. Les deux mains vers la douleur, il se pliait en deux. « Putain. » Le regardant de haut je lui crachait dessus. « Tu es pareil comme les autres, tu n'as aucun coeur. » Quand je claquais la porte sur mon chemin, des gardes de sécurité venaient m’accoster pour essayer de me soulever de terre. « Amenez-là chez elle avec surveillance, elle n'est pas totalement guérie. » La voix de Tyson résonnait dans mes oreilles alors en le voyant non loin, je lui hurlais dessus. « T'ES UN CONNARD !. » Sans dire le moindre mot, je me laissais emportée jusqu'à chez moi. La maison vide me rappelait un énorme vide dans ma vie que même moi j'ignorais comment prendre. La soirée fut difficile mais après une douche et enveloppée dans une couverture, je trouvais un sommeil perdu depuis de nombreuses années. Ma fille me manquait. Un bruit de sonnette me réveillait après deux heures. Les yeux entrouverts, je décidais de me lever et d'ouvrir la porte pour tomber sur la personne que je ne pouvais pas endurer. « Dégage de chez moi. » Quand j'allais fermer la porte de bois, son pied retenait celle-ci. « Pourquoi t'es aussi froide comme nana. » Étant indignée, je fronçais le regard. « Depuis que je t'ai rencontrée, ça tombe bien. Maintenant va t-en de chez moi. » Tyson posait sa main sur le cadre de la porte et l'autre sur mon épaule pour me faire reculer et qu'il puisse pénétrer à l'intérieur. « Allons j'suis ici pour m'expliquer rien de plus Bess. Pourquoi tu réagit comme ça, je pensais que tu aimais nos aventures. » Roulant les yeux, je passais une main dans mes cheveux pour essayer de ne pas l'envoyer balader mais c'était plus fort que moi. « J'aimais ça mais tu me prend pour une conne. Parce que c'est ce que je suis à tes yeux Tyson, une fille que tu peux coucher avec elle pour lâcher le lendemain mais j'suis pas comme ça. Va te trouver une autre femme qui ne sera pas importante à tes yeux et lâche moi. » Tyson venait à avoir un nouveau regard à mes paroles mais je n'en faisais rien. « C'est ça le problème, peut-être que tu es plus importante dans ma vie que je le pense. » Fin de la conversation. Le brun se reculait, une main sur sa nuque pour sortir dehors.